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Garde d’enfant Bordeaux

Garde d’enfant : sortie école & crèche

Urgent, nous recherchons une nounou pour la garde de 2 enfants âgés de 2.5 ans et 4 mois en « sortie crèche ».

Jours et horaires de garde : *Lundi – mardi – jeudi et vendredi de 17h00 à 19h00

Votre mission : récupérer les enfants à la crèche à pied. Activités d’éveils et ludiques, bain, repas…

Type d’emploi : CDI
Salaire horaire brut : 9.90€+ 10% de congés payés
Expériences exigées et diplôme exigé de la Petite Enfance

 

Les aides pour la garde d’enfant – PAJE – Cmg

LE COMPLÉMENT DE LIBRE CHOIX DU MODE DE GARDE

Vous faites garder votre (ou vos) enfant(s) de moins de 6 ans par une association ou entreprise habilitée ou par une micro-crèche.

Le complément de libre choix du mode de garde d’un enfant né ou adopté depuis le 1er avril 2014

 

  • Conditions d’attribution

– Vous devez avoir une activité professionnelle.

– Si vous avez recours à une association ou une entreprise habilitée qui emploie une assistante maternelle ou une personne à domicile, vous pouvez bénéficier de ce complément de libre choix du mode de garde si l’enfant est gardé au moins 16 heures dans le mois.

  

 

En cas de recours à une association, entreprise ou micro-crèche, votre Caf prend en charge une partie de votre dépense


Le montant de la prise en charge partielle de la participation versée à la structure dépend de vos revenus, du nombre d’enfants et de leur âge. Un minimum de 15 % de la dépense restera à votre charge.

 

 

Plafonds de revenus 2015

en vigueur du 1er janvier au 31 décembre 2017

Enfant(s) à charge Revenus 
Inférieurs à Ne dépassant pas Supérieurs à
1 enfant 21 332 € * 47 405 € * 47 405 € *
2 enfants 24 561 € * 54 579 € * 54 579 € *
3 enfants 28 435 € * 63 188 € * 63 188 € *
au delà de 3 enfants + 3 874 € + 8 609 € + 8 609 €

 * Ce montant est majoré de 40 % si vous élevez seul(e) votre ou vos enfants.

Montants mensuels maximums de la prise en charge en fonction des plafonds de revenus
(du 1er avril 2017 au 31 mars 2018)
 Âge de l’enfant Quand l’association ou l’entreprise emploie une assistante maternelle
 – de 3 ans 700,30 €  583,58 €  466,88 €
 de 3 ans à 6 ans 350,16 €  291,80 € 233,44 €
Âge de l’enfant Quand l’association ou l’entreprise emploie une garde à domicile ou en cas de micro-crèche
– de 3 ans 846,22 € 729,47 € 612,77 €
 de 3 ans à 6 ans 423,12 € 364,74 € 306,39 €

 

Cas de réduction ou de majoration des montants de la prise en charge


– Ces montants sont divisés par deux si vous bénéficiez du complément de libre choix d’activité versé pour un temps partiel de 50 % ou moins ;

– Sous certaines conditions, ces montants peuvent être majorés de

   – 10 % si votre enfant est gardé la nuit de 22 h à 6 h, le dimanche ou les jours fériés;

   – 30 % si vous et/ou  votre conjoint est bénéficiaire de l’allocation d’adulte handicapé. Cette majoration s’applique depuis le 1er juin 2012.

A noter, ces deux majorations sont cumulables.

  

Pratique

Pensez à faire votre demande de complément de libre choix de mode de garde auprès de votre Caf dès le premier mois de recours à la structure. Si vous tardez, vous risquez de ne pas bénéficier de l’intégralité de l’aide à laquelle vous avez droit.

– Selon le mode de garde, vous pouvez bénéficier d’un crédit d’impôt.

– Si vous avez à la fois recours à plusieurs modes de garde (assistante maternelle, garde à domicile, association, entreprise ou micro-crèche), le cumul des prises en charge partielles de la rémunération est possible sous certaines conditions.

 

*Source : caf.fr – 2017

Les terreurs nocturnes chez l’enfant.

 

 

 

 

 

 

 

 

Suite à la rencontre récemment d’un de nos parents de l’agence Atibout, Garde d’enfants à domicile.
Nous avons souhaité partager cet article concernant les terreurs nocturnes chez l’enfant âgé de 3 à 5 ans.
Pour sensibiliser les parents ainsi que nos baby-sitters, nos nounous qui sont en charge de s’occuper des enfants pendant la nuit.

Si votre enfant semble terrifié et très perturbé en pleine nuit, pendant qu’il dort, il est possible qu’il ne soit pas en train de faire un cauchemar ordinaire.
Il se peut qu’il vive quelque chose de différent : une terreur nocturne. Il a alors les yeux ouverts, il s’agite, il hurle et il semble terrifié. La crise peut durer de 1 à 20 minutes.

Parfois, il aura un discours incohérent et il ne pourra répondre à vos questions de façon adéquate. Il ne vous reconnaît pas et n’a pas – ou peu – conscience de votre présence.
Il est parfois agressif et la plupart du temps il ne supporte pas qu’on le touche, ni qu’on le tienne. Au réveil le matin, la majorité des enfants ne se souviennent pas de ce qui s’est passé.

 

Les causes
Les terreurs nocturnes sont beaucoup moins fréquentes que les cauchemars. Seulement 3 % des enfants en font et c’est plus souvent des garçons.
Elles sont aussi plus fréquentes dans les familles où un des parents – ou grands-parents – a aussi eu des terreurs nocturnes.

Les terreurs nocturnes surviennent souvent quand l’enfant est âgé de 3 ans à 5 ans. Il est possible toutefois qu’elles se manifestent plus tôt, vers 18 mois.
En vieillissant, l’enfant sera plus enclin à être somnambule (marcher en dormant) ou à parler durant son sommeil.
Habituellement, cela se résorbe à l’adolescence pour parfois reprendre à l’âge adulte.
Il se peut également que l’enfant fasse pipi au lit  (énurésie nocturne).

Les terreurs nocturnes peuvent survenir quand l’enfant :

  • est excessivement fatigué ;
  • vit des changements dans son quotidien qui le rendent anxieux (séparation, déménagement, changement de garderie, etc.);
  • cesse de faire des siestes ou quand ses habitudes de sommeil changent.

De plus, lorsqu’un enfant est malade ou qu’il fait de la fièvre, les terreurs nocturnes peuvent apparaître plus fréquemment.

Dans ces moments, l’enfant récupère de son manque de sommeil par une prolongation de la phase du sommeil profond, phase durant laquelle se manifestent les terreurs nocturnes.
Ces crises surviennent généralement à la même période, de 60 à 90 minutes après que l’enfant se soit endormi.

 

Ce que vous pouvez faire

La nuit

  • Quand votre enfant est victime d’une terreur nocturne, n’essayez pas de le réveiller, même s’il a l’air profondément bouleversé. Assurez-vous surtout qu’il est en sécurité dans son lit.
  • Vous pouvez aussi tenter de le calmer en mettant votre main sur lui, en lui disant doucement « chut » et en le recouchant doucement.
    S’il se réveille vraiment, réconfortez-le et rassurez-le en lui disant que tout va bien, que vous êtes là et qu’il peut se rendormir.
  • N’oubliez pas qu’il n’a pas de souvenir de cet événement. Si vous réagissez trop, il pourra avoir peur de votre réaction.
    Vous pouvez peut-être lui frotter le dos, chantonner doucement ou vous allonger près de lui quelques instants.
  • S’il en a l’habitude, vous pouvez aussi le laisser s’endormir seul. Rester à ses côté pourrait lui laisser croire que quelque chose de grave ou d’important s’est passé.

 

Le lendemain et les jours suivants

  • Ne parlez pas de ce moment à votre enfant sauf s’il le fait lui-même, ce qui est peu probable dans le cas d’une terreur nocturne.
    Si vous lui en parlez, vous risquez de lui faire peur et il voudra peut-être éviter de se coucher le soir. Demandez-lui plutôt si tout va bien, s’il a des sujets d’inquiétude.
  • Si votre enfant a cessé de faire des siestes, il pourrait être utile de les reprendre et d’en réduire la durée graduellement.
  • Assurez-vous que la routine du coucher l’apaise. Évitez qu’il regarde des émissions télévisées effrayantes et qu’il joue à l’ordinateur ou à des jeux vidéos.
    Mettez aussi de côté les histoires terrifiantes (même le méchant loup peut faire peur).
  • Il est aussi recommandé d’éviter les sports intenses, les repas lourds ainsi que les activités qui sollicitent trop l’imagination trop près de l’heure du coucher.
  • Vous pouvez favoriser une atmosphère propice au calme en racontant une belle histoire, en lui faisant prendre un bain, en allumant une veilleuse,
    en lui chantant une chanson ou en lui parlant des événements agréables de la journée.
  • Des exercices de respiration simples peuvent aussi être faits pour favoriser une meilleure détente.

 

Nuit après nuit…
Dans le cas où les terreurs se reproduisent toutes les nuits, et dans ce cas seulement, les médecins conseillent aux parents de réveiller
leur enfant 30 minutes avant l’heure à laquelle la terreur nocturne se manifeste habituellement : cela, pour l’empêcher de se produire.
Vous pouvez l’amener aux toilettes ou lui donner à boire, avant de le laisser se rendormir par lui-même.
On peut faire cela chaque soir pendant 1 semaine et voir ensuite si les manifestations cessent. Si la situation ne s’améliore pas, consultez un médecin.

 

Source : Naître et Grandir.